Si la quantité d'eaux usées réutilisées essentiellement en arrosage ou amendement est encore faible à travers le monde (7 milliards de m3 sur 369), en raison de la difficulté à trouver des captages d'eau potable, ce mode de gestion devrait s'envoler.
Suez environnement et sa filiale Degrémont, ainsi que Veolia développent des projets dans ce sens.
L'objectif étant de produire de l'eau potable directement avec ce gisement.
Windhoek, capitale de la Namibie, est la seule ville au monde à disposer de cette solution ; mais en juillet, les habitant de Toowoomba (Australie) l'ont refusé par référendum.
Si la technique de potabilisation est jugée au point, on reconnaît que « des freins psychologiques» existent.