Prospective du bâtiment pour être « Ready 2050 »

Par Jean Christophe Visier, Directeur de la prospective - CSTB

« L’avenir ne se prévoit pas, il se prépare » disait Maurice Blondel.

Prévoir ce que seront nos bâtiments demain est un exercice hors de notre portée mais imaginer ensemble des futurs possibles est une des méthodes pour nous permettre d’agir plus intelligemment aujourd’hui pour construire ensemble ce que sera notre avenir.

Ceci nécessite de sortir des approches spécialisées pour essayer de construire des scénarios contrastés permettant d’imaginer comment le croisement entre les évolutions démographiques, les changements de modes de vie, les enjeux économiques et les possibilités techniques pourraient construire 2050 la réglementation environnementale 2020 se prépare pour remplacer la RT 2012. Des évolutions importantes voire un changement de paradigme avec la dimension carbone vont concerner toutes les constructions neuves.

Voici en exclusivité et en vidéo pour les lecteurs d'Xpair la conférence de Jean Christophe Visier, directeur de la prospective au CSTB, lors de la Journée de l'Efficacité Energétique et Environnementale du Bâtiment EnerJ-meeting, du 10 octobre dernier à Nantes.

Et Jean Christophe Visier de dire : « Le travail que je vous propose a été préparé avec Albane GASPARD de l’ADEME. Ce jour, nous avons double casquette, moitié CSTB moitié ADEME, sur ces aspects de prospectives car nous sommes convaincus que pour regarder l’avenir il faut essayer de le regarder collectivement. »

La prospective dans le secteur du bâtiment

La prospective ce n’est certainement pas dire ce que sera 2050, par contre cela consiste à essayer de préparer l’avenir et pour cela c’est d’essayer de se projeter dans différents avenirs possibles, il n’y en pas un, il y en a pleins, l’avenir du bâtiment nous pouvons et allons le construire ensemble.

Pourquoi c’est important dans le bâtiment ?
A cause d’un chiffre : 1,1% par an, c’est quoi 1,1% par an ? C’est deux points : le taux de natalité des gens et aussi des bâtiments !

Nous connaissons trois choses, les bâtiments, les montagnes et les voitures.
Les montagnes bougent beaucoup moins vite que les gens, donc nous nous adaptons aux montagnes. Les voitures bougent beaucoup plus vite que les gens, donc si notre mode de vie change, si nos enfants s’en vont, nous pouvons changer de voiture. Les logements et les gens bougent pratiquement à la même vitesse, nous avons besoin d’adaptation des gens aux bâtiments et des bâtiments aux gens, c’est une double adaptation.

Un exemple : auparavant les gens se mettaient en couple assez tôt, vous aviez un deux pièces avec un salon et une chambre à coucher, maintenant les gens se mettent en couple plus tard, vous avez deux personnes qui vivent en colocation avec deux chambres et le salon c’est peut-être le bar en bas de l’immeuble. Nous voyons bien que ces aspects sociaux et techniques du bâtiment vont bouger ensemble, donc cela nous obliger à regarder les choses plus largement.

Ce que nous souhaitons faire, le CSTB et l’ADEME, nous sommes en train d’essayer d’embarquer tout le monde, tous les acteurs de la filière là-dessus, c’est d’essayer d’imaginer ensemble des avenirs possibles du bâtiment et de l’immobilier avec les acteurs du bâtiment et de l’immobilier intéressés pour partager des visions sur ces avenirs possibles, avec l’idée que chacun de sa place voit bien quelque chose et peut être inspiré par ce que voient les autres.

Une esquisse, avec une boussole prospective du bâtiment

Pour cela, nous avons commencé à inventer, c’est une esquisse, pour les gens du bâtiment une esquisse c’est clair c’est la première idée mais ce n’est pas le produit fini, c’est une esquisse de ce que pourrait être une boussole prospective qui nous permettrait de regarder l’avenir ensemble de manière un peu plus éclairée.

Alors dans cette prospective nous imaginons quatre grands paquets, un paquet c’est la dimension sociale c’est très orienté autour des gens, un autre paquet c’est la dimension économique, un troisième paquet c’est la dimension technique et un dernier paquet c’est la dimension environnementale.

 La dimension sociale

Commençons par la dimension sociale. Nous voyons apparaître tout un tas de thèmes. Nous allons en prendre quelques-uns pour vous illustrer ce que nous voulons faire, c’est une esquisse ce n’est pas le projet final, le projet final il faudra que nous le construisions avec la filière.

Premier point, c’est la pyramide des âges :
Vous avez en rose - cf vidéo - la pyramide des âges en 2013 et l’INSEE a fait en 2013 des projections sur 2040, ce sont les courbes au-dessus, il y a deux courbes car nous pouvons faire des différentes projections. Qu’est-ce que nous voyons, tout d’abord ce n’est pas une pyramide c’est un immeuble avec un toit en pente, et que va-t-il se passer entre 2013 et 2040 ? Nous allons rajouter des étages et les étages c’est quoi ? Ce sont les gens au-dessus de 65 ans en général, donc nous sommes dans une population qui va vieillir, nous ne sommes pas les seuls, les japonais l’on déjà fait, les allemands sont en train, les chinois aussi, donc c’est un changement de société extrêmement profond qui est en train de se passer et cela fait très longtemps que cela n’était pas arrivé depuis la transition démographique, et cela pose tout un tas de questions au secteur du bâtiment.

Ce n’est pas seulement comment allons-nous loger les personnes les plus âgées mais c’est par exemple le type de bâtiment nécessaire, vous voyez bien que la part des écoles et des hôpitaux pourrait changer par exemple. Le type et l’aménagement des logements, quand nous sommes plus âgés nous vivons généralement moins nombreux, nous avons moins d’enfants. La répartition sur le territoire, quand nous travaillons nous avons besoin d’être proches des zones d’emplois. La rotation du parc entre les générations, savez-vous que les personnes qui ont plus de 65 ans ont deux fois plus de surfaces par m² que les personnes qui ont 45 ans, c’est juste une capitalisation qui se fait naturellement, mais si nous restons sur des grands logements longtemps cela pose un problème aux jeunes, où vont-ils se loger ? Il y a énormément de questions de ce type qui peuvent être extrêmement motrices dans ce qui peut se passer.

Prenons le deuxième point, la surface par personne :
Voici deux tableaux – cf vidéo, le tableau de gauche vous donne l’évolution de la surface de logement par personne entre 1970 et 2013, passée de 23 à 40 m² par personne ; on dit que sur cette période-là les logements ont gagné une pièce et perdu une personne, nous vivons moins nombreux dans des logements plus grands. Cela a eu un impact important sur les besoins de logements. Quand vous regardez la courbe de droite, pourquoi avons-nous eu besoin de construire des logements ? D’abord parce que nous sommes plus nombreux c’est la partie en rouge, mais aussi beaucoup parce que nous prenons plus de place, nous avons eu plus d’espace et cela a été un des moteurs extrêmement fort de la construction plus que de la démographie à certaines périodes. Cela pose des questions, cette augmentation de la surface par personne va-t-elle se poursuivre ? ou est-ce qu’il y a des tentatives pour créer des choses attirantes, agréables sans tomber sur le toujours plus. Est-ce que, en particulier, nous ne pourrions pas avoir une recherche du mieux comme alternative à une recherche du plus grand.

La dimension économique

Parlons d’économie, c’est important car c’est le nerf de la guerre et voici quelques repères sur l’économie des ménages. Auparavant, les personnes qui étaient pauvres c’était plutôt les personnes âgées, aujourd’hui quand nous regardons les gens qui sont pauvres ce sont souvent les personnes dans les familles monoparentales en particulier des femmes, cette pauvreté a bougé et il faut le prendre en compte.

Deuxièmement, si vous regardez à quoi nous dépensons notre argent et où sont les dépenses pré-engagées, quand nous demandons les réponses sont que nous dépensons plus dans les téléphones, les loisirs, etc, … Regardez les courbes, services de télévision et de télécommunication certes ont augmenté mais beaucoup moins que les dépenses liées aux logements, (les loyers, les charges, l’eau, l’assurance au logement), le point majeur qui s’est passé c’est cette augmentation des dépenses liée au logement, ce n’est peut-être pas sans lien avec l’augmentation de surfaces.

A un certain moment, nous nous sommes dit nous allons vers une France de propriétaires et si vous regardez ce qui se passe depuis 1970 vous voyez la courbe bleue, la courbe bleue c’est la moyenne des Français, il y a de plus en plus de propriétaires. Maintenant vous regardez la part de propriétaires (tranche d’âge 25/44 ans) c’est une période où nous achetons beaucoup, quelle est la part des propriétaires en fonction des niveaux de revenus. Vous voyez que ceux en jaune, le quart le plus riche était déjà plus propriétaire que les autres et il augmenté encore plus.
Par contre, les trois autres quarts étaient à peu près au même niveau en 1970 et depuis cela s’est complètement différencié, donc l’accès à la propriété a fortement varié au cours du temps et nous allons vers une direction ou si l’on se dit que le marché du logement de demain c’est le marché de l’accession, c’est le marché de tout le monde, ce n’est pas tout à fait cela qui est en train de se passer.

Nous pouvons nous poser des questions : quelles seront les évolutions globales du niveau de vie, mais aussi quelles seront les évolutions et inégalités sociales et la redistribution des richesses, c’est un sujet que l’on répercute très fortement ces temps-ci et quel impact cela aura sur les gens qui travaillent sur le bâtiment et l’immobilier.

Le changement climatique, voici ce qui s’est déjà passé, nous avons déjà eu une augmentation de 1° de température et cela se traduit par des impacts divers mais nombreux, ce sont des températures moyennes plus élevées, des vagues de chaleur, des feux de forêts, regardez ce qui s’est passé aux Etats-Unis l’an dernier, des inondations à certains nombres d’endroits, des sécheresses qui font que certains nombres d’arbres sont potentiellement en train de disparaitre, nous sommes sur quelque chose vraiment de grave sur lequel il y a un vrai besoin d’agir vite, pas à la vitesse d’un escargot !

Les questions qui se posent sont :
- Quelles seront les ampleurs du changement climatique d’ici 2050 et 2100 ? La meilleure optique si nous agissons très vite dès maintenant c’est 1,5° mais pour l’instant nous ne sommes pas sur cette vitesse-là, nous allons beaucoup plus fort que cela.
- Quels seront les impacts sur le territoire français avec des différences suivant les endroits ?
- Comment adapter les bâtiments au changement climatique, il est clair que tous les bâtiments que nous construisons aujourd’hui vont voir le changement climatique et donc il est indispensable de les penser en tenant compte de ce changement climatique.
- Pour toute la filière, que pouvons-nous faire par rapport au changement climatique, en matière d’agir pour le diminuer et d’agir pour adapter les bâtiments à ce que sera ce climat demain.

La dimension technique

Nous allons venir vers des aspects plus techniques sur lesquels bien entendu le CSTB est attendu. Sur la dimension technique nous voyons qu’il y a trois points qui sont à l’œuvre assez fortement, que nous allons décrire l’un après l’autre, l’industrialisation, la numérisation et la circularisation.

La numérisation, quand on parle numérique dans le bâtiment nous avons tendance à dire que le gros sujet qui nous préoccupe tous c’est le BIM, ce que nous avons mis sous le SIMCITY développement d’un monde virtuel pour imaginer, optimiser le monde réel, nous voyons qu’il y a énormément de travaux qui sont faits là-dessus et tout ce qui permet de faciliter la communication entre les acteurs. Mais il y a un fait d’extrêmement puissant qui se passe en même temps, l’exemple c’est l’optimisation de l’utilisation de l’existant, nous l’avons vu, nous savons très bien que nous avons des bâtiments qui ne sont pas utilisés en permanence.

Combien d’entre vous sont présents ici, chez eux et à leurs bureaux en même temps ? Vous voyez bien que lorsque nous sommes à un endroit nous ne le sommes pas à un autre, donc forcément il y a des questions qui se posent là-dessus, est-ce qu’il n’y a pas des choses à gérer et à optimiser en fonction de ce constat et des économies à réaliser?

Un acteur qui l’a très bien compris et qui a fait un mode d’hébergement en rupture avec des bons côtés et aussi des très mauvais, c’est Airbnb qui a réussi de permettre à de nombreuses personnes d’aller loger dans des Airbnb. C’est donc à la fois une vraie tendance et Airbnb a transformé des logements en chambres d’hôtel en créant la plus grande capacité hôtelière du monde sans investissement pierre, ni poids carbone supplémentaire.

Il y a bien d’autres choses qui sont en train de se faire, par exemple sur Paris il y a un certain nombre d’organismes HLM qui se sont dit que s’ils voulaient réussir à faire de la rotation entre leurs locataires, et notamment des gens qui avaient de grands logements et qui n’en avaient peut-être plus besoin, qui pourraient peut-être accepter de les échanger. Ils ont mis une bourse d’échange qui vient de se lancer pour faciliter ces échanges, bien sûr les organismes qui se sont mis ensemble suivent le processus, qui ne laissent pas faire n’importe quoi, mais il y a quand même un vrai enjeu sur le bâtiment de mieux utiliser l’existant et là, il y a un enjeu majeur de mieux exploiter ces espaces qui ne le sont pas forcément bien.

Sur le numérique, il y a un certain nombre de défis à relever. Il y a un défi de sécurisation nous en parlons en permanence, que se passe-t-il, va-t-on avoir des accidents importants sur la sécurisation ou juste des petits problèmes que nous allons réussir à résoudre.

Nous avons un sujet de gouvernance, si nous prenons le sujet de la ville intelligente, par exemple la ville de Toronto a fait une expérimentation où elle a donné les clés d’une partie de la ville à Google. Est-ce que c’est cela que nous voulons ou est-ce que nous voulons avoir des gouvernances différentes dans lesquelles les collectivités auront un autre rôle qui gèrent ces données.

Prospective du bâtiment et dimension environnementale

Nous avons un vrai sujet d’impact environnemental car nous parlons beaucoup de l’avion, mais l’impact du numérique est quand même extrêmement important, et nous avons un impact social, est-ce que l’avenir du secteur du bâtiment c’est d’avoir des travailleurs uberisés, est-ce que cela ne pose pas des problèmes aux artisans par exemple.

Deuxième sujet l’industrialisation, nous voyons que le bâtiment est confronté à un certain nombre de difficultés, un sujet de main d’œuvre et de main d’œuvre qualifiée qui manque, et le vieillissement ne va pas faciliter les choses.

Puis un sujet de qualité de réalisation, nous savons bien qu’entre ce que nous prévoyons et ce qui se réalise, il y a parfois une certaine distance.

Ensuite un sujet de productivité, vous avez les courbes d’évolution de la productivité, en rouge c’est le bâtiment, l’intermédiaire c’est la moyenne de l’économie mondiale et en haut c’est l’industrie. Nous voyons que les progrès de productivité dans le bâtiment ont été beaucoup plus faibles que dans d’autres secteurs, donc il y a une idée que pousse un certain nombre d’acteurs c’est que nous pourrions peut-être standardiser la construction et l’industrialiser, cela demande un travail essentiel entre la maîtrise d’ouvrage qui commande et ceux qui réalisent.

Un exemple qui a été donné par un spécialiste de la construction hors site, sur le cas d’un hôtel Ibis et on lui avait demandé de faire de l’industrialisation, 18 types de chambres, il a commencé à travailler sur le projet et s’est aperçu qu’avec 3 types il s’en sortait, à ce moment-là, il a pu standardiser et réussir à faire quelque chose qui avait du sens. Cela pose des problèmes de logistique, nous avons deux options : une option qui consiste à produire peut-être en dehors de la ville dense et amener des modules déjà bien faits, ou une autre approche qui est l’approche actuelle, c’est que tous les jours on a des artisans qui viennent avec leurs camionnettes travailler en ville, au niveau transport ce n’est pas évident et au niveau gestion ce n’est pas la meilleure idée.

Troisième idée la circularisation, c’est l’économie circulaire. Quand nous parlons d’économie circulaire nous commençons à parler des matériaux recyclés, simplement si vous avez une croissance des consommations de matériaux, vous aurez beau recycler tout ce que vous voudrez vous n’en aurez pas assez pour faire cela, donc faire du recyclage sans sobriété ça ne marche pas. Il faut que nous fassions du réemploi des matériaux et nous voyons que nous pouvons en faire beaucoup plus que nous le faisions précédemment, nous avons visité un bâtiment d’Icade, ils ont réemployé toutes les dalles de faux-planchers c’est du réemploi, donc là il y a un vrai sujet là-dessus. Mais le sujet du bâtiment, ne nous trompons pas en terme d’économie circulaire, c’est l’économie circulaire des bâtiments.

C’est quoi un bâtiment d’occasion ? Nous allons poser la question dans l’autre sens, combien d’entre vous vivent dans un bâtiment neuf dont ils sont les premiers utilisateurs ? Il y en a un certain nombre mais très minoritaire. Le marché du bâtiment c’est le marché du bâtiment d’occasion, donc l’un des gros enjeux que nous avons c’est comment faire pour que ces bâtiments, qui ont été construits il y a un certain temps, soient vraiment utiles et aient du sens par rapport aux usages d’aujourd’hui.

Le numérique est jeune et pousse vite, subira-t-il une crise de croissance ? Nous rappelons qu’à part Apple, les autres GAFA ont 25 ans c’est très jeune, la crise de croissance peut être là.

L’industrialisation de la construction va-t-elle décollée ? On l’annonce depuis longtemps, et la prise de conscience écologique va-t-elle conduire au déploiement massif de l’économie circulaire ?

Nous vous avons donné quelques éléments de l’esquisse, nous n’avons pas pu visiter toutes les pièces par manque de temps.

Cliquez pour accéder à la vidéo YouTube

"Prospective du bâtiment pour être Ready 2050",  Conférence par Jean Christophe Visier, Directeur de la prospective - CSTB

Manifeste Nantes

Retrouvez la synthèse des interventions "RE 2020 :
après l’expérimentation E+C-, les dispositions réglementaires pressenties"

 

Téléchargez le Manifeste EnerJ-meeting Nantes 2019

 

Portrait de JC Visier


Jean Christophe Visier, Directeur de la prospective, CSTB. Jean-Christophe Visier a dirigé pendant 15 ans les équipes énergie et environnement du CSTB.
Il a contribué à l’émergence des bâtiments basse consommation, à énergie positive, puis bas carbone et à leurs transcriptions dans les labels et réglementations. En 2019, il a décidé d’élargir son champ de réflexion et est aujourd’hui le directeur de la prospective du CSTB.

 


 

Sources et liens

EnerJmeeting Nantes

CSTB

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