Oui à la pompe à chaleur, mais à un faible coût d’installation. Tel est en substance le message qui ressort des travaux d’un récent “Atelier thermodynamique” de l’Union des Maisons Françaises (UMF), le syndicat professionnel des constructeurs de maisons individuelles.
Certes, constate cet atelier, la boucle à eau chaude sera “nécessaire” pour obtenir le niveau BBC (bâtiment basse consommation), et deux solutions techniques sont disponibles en la matière : la chaudière à condensation et la PAC. Mais, pour celle-ci, les prix des matériels et de leur installation restent “encore élevés”, regrette-t-on à l’UMF, où on souhaite une réduction de ces prix à la fois par l’utilisation de PAC “monobloc” et par “une limitation des intervenants” au niveau de la pose. " Pas de frigoriste, pas de recours à des spécialistes coûteux " : tel est le désir de l’UMF, qui juge que la mise en œuvre des PAC est aujourd’hui “un facteur aggravant du surcoût”.
En conséquence, l’UMF demande une “simplification” de cette mise en œuvre, une “standardisation” de l’installation. Autre recommandation de l’UMF : “sécuriser” la mise en œuvre des PAC par l’édition de guides d’installation et, bien sûr, par la formation des installateurs.
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