Les panneaux solaires biologiques auraient de beaux jours devant eux. En s’inspirant de la photosynthèse, des chercheurs du MIT et de l’EPFL ont mis au point des cellules photovoltaïques intégrant des éléments végétaux (algues), capable de capter la lumière.
La technologie, composée d’une matrice semi-conductrice et recouverte du complexe moléculaire d’origine biologique, ne convertit pour l’instant que 0,1 % de l’énergie solaire en électricité (contre 10 à 20 % pour les cellules en silicium).
Le système n’est donc pas encore exploitable. Simple et peu coûteux à produire, il fait l’objet de nombreuses recherches et pourrait être rapidement perfectionné.
Source : Enerzine