
En imposant l’automatisation du bâtiment et même, par le Décret Tertiaire (ou Eco, des résultats justifiés chiffrés d’économies d’énergie, la réglementation agit en faveur de la transition énergétique. D’ici 2030, une première tranche de 40 % d’économies doit être atteinte 50% en 2040 et 60% en 2050 par rapport 2020), ce qui force à mettre en place des solutions techniques pointues.
Souvent, on pense qu’une bonne isolation suffit à elle seule pour assurer la performance énergétique des bâtiments. Les coûts des travaux sont conséquents et il arrive même que les problèmes de surconsommation persistent dans des bâtiments bien isolés… car il faut aussi se soucier de l’émetteur.
Avec une régulation terminale connectée, l’automatisation du chauffage est simple et immédiatement efficace. En optimisant l’apport énergétique au départ, on réalise des économies d’énergie considérables. On sait qu’en chauffant 1°C de moins, on économise 7% d’énergie, ce qui est avéré mais souvent largement sous-estimé car ce chiffre se base sur des températures basses.
En pratique, les bâtiments sont largement surchauffés et les économies réalisées par la mise en place d’une régulation intelligente sont très nettement supérieure. C’est une des solutions les plus simples et aussi les plus abordables à mettre en œuvre avec un retour sur investissement quasi immédiat.
Incertitudes et flambée des prix de l’énergie, gestion tendue des approvisionnements… au-delà des aspects réglementaires, la sobriété énergétique est une nécessité absolue pour faire face à la crise et préserver notre planète.
L’élimination pure et simple du gaspillage énergétique avec l’absence de surchauffe, la détection de fenêtre ouverte qui coupe le chauffage et une très haute précision de régulation apparaît ainsi comme une évidence.
De même qu’une régulation dite intelligente, soit qui fait le job tout simplement et qui chasse le moindre kWh inutile !