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ASPECTS REGLEMENTAIRES
- Pour les constructions résidentielles neuves BBC, seuil de consommation maxi fixé à 50 kWhep/m²/an.
- Pour les constructions résidentielles rénovées BBC : seuil de consommation maxi fixé à 80 kWhep/m²/an
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REGLES ET OUTILS
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PRODUITS RECOMMANDES
Chauffage bois, réglementation et maison basse consommation
La réglementation thermique RT 2012 fixe une performance de consommation dite « basse consommation ». Pour cela le bois-énergie possède un atout considérable vis-à-vis des autres énergies comme les énergies fossiles fioul et gaz mais également l’électricité.
Rappelons, sur la base du label EFFINERGIE que la construction BBC basse consommation ne doit pas dépasser les seuils :
Ces seuils en kWh d'énergie primaire (ep) par m² de Surface Hors Oeuvre Nette (SHON) sont à moduler selon la zone climatique et l'altitude. Quantitativement cela regroupe la consommation conventionnelle d’énergie primaire pour le chauffage, le refroidissement, la ventilation, les auxiliaires, la production d’eau chaude sanitaire, l’éclairage des locaux.
Pour le bois, le coefficient de transformation en énergie primaire de l'énergie bois pour le calcul des consommations conventionnelles d'énergie primaire est pris, par convention, égal à 0,6.
Pour mémoire, le coefficient de transformation pour le fioul et le gaz est 1kWh d’énergie finale = 1kWh d’énergie primaire et pour l’électricité 1kWh d’énergie finale = 2,58 kWh d’énergie primaire.
Autrement dit 1kWh consommé au compteur = 2,58 kWh d'énergie primaire pour l’électricité même si vous utilisez une pompe à chaleur.
Soit pour l’énergie bois 1kWh consommé par la chaudière ou le poêle = 0,6 kWh d'énergie primaire.
En résumé, l’énergie bois est par rapport au fioul, gaz, électricité, la plus avantageuse pour obtenir le meilleur bilan éco-carbone, accéder facilement au label basse consommation et bénéficier dès à présent des avantages qu’il octroie en plus des économies d’énergie, c'est-à dire l’éligibilité au prêt à taux zéro, à ‘ECO-PTZ, au crédit d'impôt, à la réduction de la taxe foncière, à l’extension de COS, et aux subventions locales.